août 2011

Le PQ refuse de s’unir au NMQ

Article d’Antoine Robitaille paru dans le quotidien Le Devoir du 23 août 2011.

Le député réagissait au nom de la formation politique, Pauline Marois ayant refusé de commenter cette première assemblée de ce collectif dit «citoyen». Celui-ci a publié un manifeste la semaine dernière dans lequel il qualifiait le PQ de parti «usé» et «confus». Il a attiré quelque 450 personnes au Collège Saint-Laurent dimanche.

Aux yeux de M. Gaudreault, il est très difficile d’envisager quelque union ou même des «états généraux du mouvement souverainiste» — proposés notamment par le club politique de gauche SPQ Libre et la coalition Cap sur l’indépendance — avec des gens si durs à l’égard du PQ.

Les Forces « royales » de retour

Article de Tristin Hopper paru dans National Post le 16 août 2011. (Traduction par Jacinthe Béliveau)

Au Québec, la nouvelle appellation a soulevé l’ire des antimonarchistes. Mario Beaulieu, président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, a qualifié le geste de « plutôt insultant pour les Québécois » et a ajouté que cela n’améliorerait en rien les chances des Conservateurs au Québec. « L’armée mérite un meilleur nom que ça. » a dit M. Beaulieu.

Le Mouvement Québec français trouve très intéressante la programmation du FMBM

Article du blogueur Mario tout de go, paru dans son blogue le 13 août 2011.

J’ai écouté attentivement Mario Beaulieu, j’ai posé quelques questions et je décode que « l’urgence » se situerait à Montréal. Selon M. Beaulieu, les Québécois des régions ne savent pas qu’ils financent l’anglicisation de Montréal et en ce sens, la pétition du MQF prendrait tout son sens…

Québec doit s’activer pour protéger la langue

Lettre d’opinion de Gaston Bernier, président de l’Association pour le soutien et l’usage de la langue française, parue dans le quotidien Le Devoir du 17 août 2011.

La présence québécoise à la manifestation avait été encouragée en mai et juin par des initiatives individuelles et par la publicité diffusée par Impératif français (représenté lors de la marche par l’écrivain Alain Dubos, auteur des Amants du Saint-Laurent, 2009), par l’Association pour le soutien et l’usage de la langue française, par la Société nationale des Québécois et Québécoises de la capitale. Cependant, la proximité de la Fête nationale a empêché les regroupements panquébécois (Mouvement national des Québécoises et Québécois, Mouvement Québec français, Ligue d’action nationale) d’y encadrer la présence québécoise.

Le Mouvement Québec français recrute en Gaspésie

Article de la Presse Canadienne paru dans Radio-Canada le 14 août 2011.

Le Mouvement Québec français veut s’étendre en Gaspésie.

Le président de l’organisme, Mario Beaulieu, et le porte-parole pour la région Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine, Manuel Brault, ont tenu une opération de recrutement ce week-end, à Gaspé.

Le

Lisette Lapointe voit poindre un «mouvement de fond» pour la souveraineté

Article de La Presse Canadienne paru dans Le Devoir du 11 août 2011.

Entre autres, la députée voit d’un oeil bienveillant les activités de groupes tels que Les Intellectuels pour la souveraineté et Cap sur l’indépendance.

Avec l’affaiblissement du Parti québécois et la quasi-disparition du Bloc québécois aux élections fédérales du 2 mai, un consensus se dégage sur l’importance qu’il y a à unir les organisations indépendantistes et à confier aux citoyens la tâche de définir le pays, a-t-elle insisté.

Lancement du Mouvement Québec français de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine lors du Festival Musique du Bout du Monde

Lancement du Mouvement Québec français de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine lors du Festival Musique du Bout du Monde

Gaspé, le 11 août 2011. Le porte-parole du Mouvement Québec français (MQF) de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Manuel Brault, ainsi que le président du MQF, Mario Beaulieu, invitent les médias à un point de presse qui se tiendra :

le samedi 13 août, à 13 h 30
en face du Café des Artistes, au 101, rue de la Reine, côté est
Gaspé

Manuel Brault et Mario Beaulieu expliqueront pourquoi il est essentiel d’établir un tel regroupement de citoyens pour la promotion et la défense du français dans la région Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine. Les médias pourront assister à l’opération de recrutement et de signatures de pétition qui aura lieu pendant le Festival Musique du Bout du Monde.

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Un combat qui n’est pas livré ! (suite)

Texte de Paul-Émile Roy paru dans Vigile le 5 août 2011.

La bataille pour l’indépendance consiste donc d’abord à faire prendre conscience au peuple québécois de la situation dans laquelle il se trouve. Cette bataille est menée jusqu’à un certain point par un certain nombre de personnes qui sont souvent héroïques, qui interviennent à titre individuel dans les médias, dans certaines assemblées publiques, etc. Elle est menée aussi par toute une série de groupes ou d’organisations consacrés à la libération du Québec. Je pense à Vigile, à Impératif français, à la SSJB, à La Tempête, au groupe de la Presse québécoise, au groupe des Éditions du Québécois, au Mouvement Montréal français, à L’Action nationale, etc., etc.

Le retour de la division au PQ

Article de Josée Legault paru dans The Gazette du 30 juillet 2011. (Traduction par Jacinthe Béliveau)

« Le Parti Québécois a souffert de plus d’une crise depuis sa création en 1968. Sa dernière risque bien d’être la dernière. Son existence même est sur la ligne.

Pendant ce temps, quelque chose à l’horizon passe inaperçu. En réaction aux troubles du PQ et pour son ambiguïté, le mot « indépendance » refait surface.

Des intellectuels plus vieux, avec quelques jeunes Québécois et de nouveaux comités d’experts tels que Cap sur l’indépendance, sont en train de discuter des différentes façons de promouvoir positivement l’indépendance et aussi des manières d’y arriver démocratiquement autre que par référendum.

Bilan de la saga entre Me Stéphane Handfield et la CISR

Le site du Mouvement Québec français présente un dossier complet sur la revue de presse entourant les démarches de Me Stéphane Handfield pour la cause du français à la Commission de l’immigration et du statut de réfugié (CISR) qui se sont déroulées depuis 2008.

http://quebecfrancais.org/taxonomy/term/108?page=1

Langues officielles: le Tribunal de l’immigration a enfreint la loi

Article de Vincent Larouche paru dans La Presse du 4 août 2011.

«À cet effet, nous sommes d’avis qu’il y a eu infraction à la Loi sur les langues officielles quand le droit de changer la langue des procédures fut refusé», écrit la commissaire adjointe aux langues officielles, Ghislaine Charlebois.

Le plaignant, Me Stéphane Handfield, se dit très satisfait d’avoir obtenu gain de cause: «Ça démontre que j’ai bien fait de contester et de me battre depuis 2008. Si un client veut une audience en français, il a le droit de l’avoir. C’est seulement dommage qu’on doive se rendre là pour pouvoir procéder en français à Montréal.»

L’avocat estime toutefois que la situation s’est grandement améliorée à la CISR depuis qu’il a porté plainte.