septembre 2011

Qui sont les radicaux ?

En réaction à la tournée récente de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal en Italie et en France, Alain Dubuc reproche à la SSJB d’avoir participé à la fête de l’Humanité.
La fête de l’Humanité est le rendez-vous annuel de tous les progressistes français, mais aussi de leurs amis d’outre frontières. Plus de 500 000 personnes ont participé à cet événement encore cette année dont plusieurs personnalités telles que Ségolène Royal, présidente du Parti socialiste français, Jean-Luc Mélenchon du Front de gauche, ou encore des artistes tels qu’Avril Lavigne, Joan Baez, Yannick Noah, Bernard Lavilliers, etc. Plusieurs artistes québécois y ont donné des spectacles dans le passé, tels que Félix Leclerc, Gilles Vigneault et Robert Charlebois.

Reportage de l’émission JE à TVA : La couronne de Montréal s’anglicise

Reportage d’Elsa Babaï à JE le 23 septembre 2001 avec Mario Beaulieu, président du MQF et plusieurs autres intervenants. On a beaucoup parlé du recul de la langue française à Montréal. Mais comment est-ce que ça se passe dans les banlieues? JE a sillonné les rues de Laval et de la rive sud de Montréal et a constaté que de nombreux commerces transgressent la Charte de la langue française… en toute impunité.

Qui sont les radicaux ? – Réplique à la chronique d’Alain Dubuc

QUI SONT LES RADICAUX ?
Par Mario Beaulieu

En réaction à la tournée récente de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal en Italie et en France, dans son édition de mercredi dernier, La Presse reprochait à la SSJB d’avoir participé à la Fête de l’Humanité.

La Fête de l’Humanité est le rendez-vous annuel de tous les progressistes français, mais aussi de leurs amis d’outre-frontière. Plus de 500 000 personnes ont participé à cet événement encore cette année dont plusieurs personnalités telles que Ségolène Royal, présidente du Parti socialiste français, Jean-Luc Mélenchon du Front de gauche, ou encore des artistes tels que Avril Lavigne, Joan Baez, Yannick Noah, Bernard Lavillier, etc. Plusieurs artistes québécois y ont donné des spectacles dans le passé tels que Félix Leclerc, Gilles Vigneault et Robert Charlebois.

Qui sont les extrémistes ?

En réaction à la tournée récente de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal en Italie et en France, un des détracteurs les plus acharnés des défenseurs du français et des indépendantistes québécois, le chroniqueur Alain Dubuc, a encore une fois déversé son fiel dans le journal La Presse (voir la chronique de Dubuc ). Il nous reproche cette fois d’avoir participé avec la délégation du Québec à la Fête de l’Humanité. Cet événement est le rendez-vous annuel de tous les progressistes français, mais aussi de leurs amis d’outre-frontière. Plus de 500 000 personnes ont participé à cet événement encore cette année dont plusieurs personnalités telles que Ségolène Royal, présidente du Parti socialiste français, Jean-Luc Mélenchon du Front de gauche, ou encore des artistes tels que Avril Lavigne, Joan Baez, Yannick Noah, Bernard Lavillier, etc. Plusieurs artistes québécois y ont donné des spectacles dans le passé tels que Félix Leclerc, Gilles Vigneault et Robert Charlebois.
HUMA
C’est précisément pour tenter de contrer le genre de désinformation propagée ici par M. Dubuc dans La Presse, que nous participons à des événements internationaux, tels que la Fête de l’Humanité à Paris ou le Festival des peuples minoritaires en Italie.

Québec indépendant : des avantages qui touchent les gens «ordinaires»

Texte écrit par un collectif d’auteurs paru dans le journal La Presse du samedi 17 septembre 2011.

Le débat constitutionnel n’est en réalité que le préambule d’un profond débat sur l’indépendance du Québec. Indépendance qui elle, permettrait finalement une gestion plus saine, plus juste et plus efficace des politiques québécoises. Éviter ou se détourner de ce débat fondamental, c’est balayer sous le tapis l’essentiel, c’est agir à très court terme, c’est éteindre des feux en évitant de travailler à régler l’origine du problème de la situation actuelle du Québec. Parce que l’indépendance s’avère être le premier pas vers « un Québec sur le chemin de l’excellence et de la fierté », qui semble visiblement préoccuper les auteurs autant que nous.

Album de photos de la manifestation éclair devant CKOI

Le mercredi 14 septembre 2011, le Mouvement Montréal français a effectué une manifestation éclair devant les bureaux de CKOI pour dénoncer les nombreuses stations de radio qui ne respectent pas les quotas minimum de musique en français sur leurs ondes.

Le MMF venait ainsi en appui à l’ADISQ qui a effectué une plainte au CRTC pour dénoncer la situation.

Les Vraies inquiétudes

Texte de Normand Breault paru dans le journal Le Devoir du 15 septembre 2011.

« Cette question linguistique, très peu prise en considération par le gouvernement Charest, demeure surtout et toujours la préoccupation de mouvements tels le MNQ et la SSJB, préoccupation et organismes souvent dépréciés et snobés tant à gauche qu’à droite.

À gauche, on fait souvent preuve d’une ouverture naïve et d’un respect complaisant, minimisant le facteur linguistique au profit de la seule répartition des richesses et de la seule défense des droits (et pourtant, Dieu sait que c’est important!). Quant aux lobbys de droite (les IEM de ce monde), ne pensant qu’en terme de dollars, ils donnent libre cours à leur obsession de l’enrichissement à tout prix, à leur quête de profits toujours plus importants, peu importe la répartition de ces derniers, ainsi qu’à leur volonté obstinée de rendre le Québec plus économiquement compétitif. »

Les titres en anglais sont conformes à la loi

Article de Cédric Béalnger paru dans le journal Le Soleil du 12 septembre 2011.

N’empêche, cette tendance à conserver le titre anglais est « symptomatique de l’anglicisation du Québec », s’indigne le président de la Société Saint-Jean-Baptiste, Mario Beaulieu, qui estime que la loi 101 devrait s’appliquer dans des cas semblables.

« Nous allons étudier de quelle façon il est préférable d’intervenir. Pour l’instant, nous tentons d’inciter les gens à choisir des émissions qui ont un titre en français », dit-il, ajoutant que plusieurs sondages « montrent pourtant que les gens préfèrent des titres en français ».

Aussi président du Mouvement Québec français, M. Beaulieu affirme du même souffle que la SSJB a récemment reçu plusieurs plaintes concernant l’utilisation de chansons anglaises dans des publicités et des émissions de télé.