Invitation à la réception du Nouvel an 2013 de la SSJB
Au nom du Conseil général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, j’ai l’honneur de vous transmettre nos meilleurs vœux pour l’année 2013 et de vous
Au nom du Conseil général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, j’ai l’honneur de vous transmettre nos meilleurs vœux pour l’année 2013 et de vous
Cérémonies et manifestation à Montréal
La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal a tenu sa traditionnelle commémoration québécoise du jour du Souvenir le dimanche 11 novembre à 11 h, au cimetière Notre-Dame-des-Neiges, au pied du cénotaphe, là où se rejoignent les cimetières militaires catholique, protestant et juif. Plusieurs personnalités politiques et représentants consulaires sont attendus, pour rendre hommage aux Québécois et aux Québécoises ayant participé aux grands conflits mondiaux et à des missions de paix.
Au nom du président de l’Assemblée nationale du Québec, Mme Carole Poirier, 1e vice-présidente, a remis la médaille de cette institution à plusieurs anciens combattants : Jacques Cinq-Mars, Jean-Napoléon Maurice, Donatien Vaillancourt, Dr. Anthony Gilbert, Manuel Manis, et à titre posthume, Esmé Labrèque, Pierre Sigouin, Maurice Dion, Aimé Lacroix et Roger Charland.
À des fins purement culturelles et historiques, la Société Culturelle et Historique Jacques-Viger vise la promotion et la diffusion de la culture, de l’histoire et des arts.
Elle a pour but de sensibiliser tous les citoyens à l’identité québécoise et d’en protéger les valeurs communes en ce qui a trait à sa langue, son histoire et sa culture.
Aude De Latrémoille
Présidente de la Société Culturelle et Historique Jacques-Viger
P.S. Ne pas oublier de réserver étant donné le nombre restreint de
places (130)
LA SSJB, section Jacques-Viger, en collaboration avec la SOCIÉTÉ CULTURELLE ET HISTORIQUE JACQUES-VIGER VOUS INVITE…
Article de Gilles Proulx publié dans Le Journal de Montréal le Premier novembre 2012
À la veille du 375ième anniversaire de Ville-Marie, pourquoi ne pas rehausser notre cachet unique en Amérique du Nord en adoptant une politique d’affichage unilingue dans la partie historique fondée par le Sieur de Maisonneuve. C’est une idée de l’ex-maire de Québec. , Jean-Paul Lallier, que la francisation des quartiers de la NOuvelle-France, autant dans la Vieille Capitale, qu’à Trois-Rivières ou dans le Vieux-Montréal.
Encore pour le 375e anniversaire, pourquoi ne pas donner un descriptif aux panonceaux de rue – comme à Paris – de manière à nous faire connaître le personnage historique dont il est question. Par exemple, sous le nom Henri-Bourrassa, en petits caractèeres , on pourrait lire: «Fondateur du quotidien Le Devoir». Sous le nom De Lorimier; on pourrait lire: «Patriote pendu au Pied-du -courant»
Voici un exemple de ces affiches
Article de Mathieu Boch Côté publié dans Le Journal de Montréal le 31 octobre 2012
Vingt cinquième anniversaire du décès de René Lévesque le 2 novembre 2012
Son objectif, c’était la souveraineté. Il ne s’agissait pas pour lui d’un projet technocratique. Mais d’une quête existentielle. Question simple : les Québécois sont-ils plus niaiseux que les autres peuples? Non? Pourquoi n’auraient-ils pas leur pays?
[…] Les pleureuses du débat linguistique ne cessent de nous dire qu’il avait des réserves envers la loi 101 de Camille Laurin. Qu’il avait un grand malaise à l’idée de légiférer sur la langue.Peut-être. Mais l’essentiel est ailleurs. Lévesque a accepté la loi 101. Dans une version infiniment plus «radicale» que ce que proposent aujourd’hui les péquistes. Il avait cautionné l’affichage unilingue. Il voulait faire du français la langue exclusive des lois. Lévesque a permis une révolution linguistique.
Cela ne l’empêchait pas d’être un démocrate absolument exemplaire. Très respectueux, par exemple, des droits de la minorité anglophone. Il ne reconnaissait pas aux immigrants, toutefois, le droit fondamental de s’angliciser à même les fonds publics.
[…] Lévesque avait le sens de l’histoire. Des racines. De l’identité. Ce n’était pas un tiède. On le voit avec sa définition de la nation. Chez Lévesque, la nation n’était pas qu’une association relâchée d’individus avec des droits.
La nation était une histoire qui remontait jusqu’à la Nouvelle-France et se prolongeait jusqu’à aujourd’hui. C’était l’histoire d’un peuple d’explorateurs et de résistants qui s’étaient battus et avaient survécu. Il ne réduisait pas le passé canadien-français à une stupide Grande Noirceur.
Ludger reçoit…
Octobre de force
Répression et état d’exception
Un essai de Simon Tessier
Les Éditions du Québécois sont fières d’annoncer la parution d’un nouvel essai sur la crise d’Octobre et les mécanismes de la répression politique et vous invitent au lancement officiel de l’ouvrage le jeudi 1er novembre à Montréal (entrée libre) :
Jeudi 1er novembre 2012
à 19h
à la Maison Ludger-Duvernay
Un vin d’honneur et des grignotines seront servis. L’éditeur et l’auteur prendront la parole durant la soirée et seront disponibles pour rencontrer les lecteurs. Bienvenue à tous, c’est un rendez-vous!
* * *
Né le 8 mai 1796 à la Petite-Côte, paroisse Saint-Laurent (Île-de-Montréal), Jean- Baptiste Meilleur est l’un des plus érudits présidents que la SSJB ait pu
***Rentrée scolaire***
Les cahiers d’exercices Québec sont en vente à la SSJB!
Plusieurs dates importantes de l’histoire du Québec à l’endos
1.00$
Par Jean-Pierre Durand J’avais douze ans quand j’ai perdu mononc’Alfred. C’était juste avant l’ouverture du métro de Montréal. Alfred Lacombe était en fait mon grand-oncle.
par Jean-Pierre Durand Cinquante-et-un ans après sa fondation en 1834, Adolphe Ouimet devient le 32e président de la SSJB, succédant à Thomas-Jean-Jacques Loranger (voir Le
MONTRÉAL, le 9 mars – Prenant fin vendredi soir, la 178e Assemblée générale annuelle de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal a été marquée par un appui massif au mouvement étudiant contre la hausse des frais de scolarité et pour la gratuité scolaire. Depuis sa fondation en 1834, la SSJB a joué un rôle important pour favoriser l’accès à l’éducation, notamment par les cours publics du Monument national qui furent les précurseurs de l’École des Beaux-Arts, de l’école technique et des HEC, ainsi que par la création de la Fondation du Prêt d’Honneur en 1945.
Par AMOUR de la Patrie depuis 1834
82, rue Sherbrooke Ouest,
Montréal (Québec) H2X 1X3
Téléphone : (514) 843-8851
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